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 Ce recueil de
musique de clavier a été composé en 1720 à l’attention de son fils
Friedemann, âgé de 10 ans. Il offre à l’enfant une soixantaine de courtes
pièces pour lui délier les doigts.
Même ces modestes
compositions sont surmontées du « I.N.J. », « In Nomine
Jesu », comme pour montrer que l’apprentissage de la musique au clavier
doit aussi être fait à la gloire de Dieu.
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Ces quelques
notes griffonnées par Bach dans la
Bible commentée par Calow, sont un des témoignages les plus
précieux de la conception qu’il se faisait de sa vocation de Cantor alors que
par ailleurs il n’est pas vraiment expansif sur son art.
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Plus connu de
son vivant
comme organiste et claveciniste
que comme compositeur,
il a été considéré comme le
"cinquième évangéliste",
œuvrant toute sa vie
« à la seule gloire de Dieu ».
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