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Science / Théologie : |
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Des connaissances en
astrophysique pourraient-elles Ce qui s’est passé au commencement
tient toujours du mystère. Le découvreur du Big-Bang,
l’abbé Georges Lemaître (1931), a
préféré parler de commencement et non
d’origine qui exprimerait quelque chose de beaucoup plus
absolu : le commencement de tous les commencements !
Immédiatement après cette explosion qui a engendré
un désordre primordial, l’univers était
peuplé d’éléments tous identiques. Pourtant,
l’univers a évolué de cette phase primordiale vers
son état actuel, avec des formes de plus en plus
structurées et complexes, jusqu’à
l’émergence de la vie. Mais, comment expliquer que
ce désordre primordial ne cesse
d’augmenter conformément au deuxième principe de la thermodynamique
et qu’en même temps, il devienne de plus en plus structuré ? Comment
la nature peut-elle si aisément produire des structures finement configurées
et hautement ordonnées comme les atomes, les molécules, les étoiles, les
galaxies et les organismes vivants ? Si l’univers a commencé par une
grande explosion, comment cet événement brûlant a-t-il pu engendrer toute
l’organisation qu’il contient – des bras spiralés de la Voie lactée aux
magnifiques paysages de la Terre… En fait, l’augmentation du
désordre provient des particules de lumière. Initialement piégée au sein d'un
milieu très dense et opaque, la lumière s'en est échappée 380 000 ans
après le big bang, lorsque ce milieu est devenu suffisamment dilué et
transparent. La libération de ces particules, leur photoprolifération a
permis et permet encore une structuration de plus en plus complexe de
l’univers. Ainsi, l’univers a un sens,
comme l’eau suit le chemin du plus grand dénivelé, notre présence s’inscrit
parfaitement dans ce sens, dans le prolongement naturel des événements qui se
sont succédé depuis 13,8 milliards d’années. Nous, nous croyons que nous
occupons le centre de l’univers, comme si nous jouions le premier rôle… Voilà
la plus belle ruse de la lumière : nous faire oublier son rôle… Nous
sommes les enfants de la lumière, peut-être même la plus belle ruse de la
lumière. Alors, que peut-on attendre
(ou espérer) quant à notre propre évolution ? Au regard de l’humanité, l’auteur
suggère l’hypothèse : peut-être ne sommes-nous pas encore de véritables
êtres humains ? Peut-être pouvons-nous prétendre à le devenir, par
étincelles, portés par la beauté de l’univers, devenir des êtres qui tendent vers
un idéal d’humanité. Mais que le chemin est long
pour que l’humain véritable s’éveille en nous ! D’après le livre de David ELBAZ, Ce que David ELBAZ nous invite à découvrir dans son livre
intitulé « La plus belle ruse
de la lumière - Et si l’univers avait un sens… », |
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Culture
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